Internum

Des artistes, des associations, des lieux, des collectifs … porteurs de projets dans le champ des arts et des cultures numériques se sont regroupés pour travailler sur des modes de travail et de développement partagé. Ce regroupement ouvert et « liquide » a pris le nom d’Internum, et organise des temps de travail collectif tous les 6 mois.

Dans cette dynamique collective, ils ont écrit de façon collaborative et ouverte un appel.

Un appel pour promouvoir le développement libre et durable des œuvres artistiques, des pratiques culturelles, des échanges au sein du changement profond que provoque l’avènement du numérique dans toutes les strates de notre société.

Un appel pour préciser des pistes de travail partagées.

Un appel pour ouvrir leurs démarches à ceux qui souhaitent s’y associer.

Ce texte a été initié au cours de trois rencontres en 2012 à Villeneuve-lez-Avignon, St Nazaire-le-Désert et Lyon. Pensé comme un code pour faire « tourner » un programme d’intelligence et de mobilisation collective, il est ouvert aux modifications, remarques, suggestions et fera l’objet d’une mise à jour tous les six mois lors de rencontres de travail.

Mode d’emploi

(!) Ce texte est une version 1.0.

Il sera modifié à partir de l’ensemble des commentaires qui seront fait entre maintenant et janvier 2013. COMMENTEZ, DISSERTEZ, ENRICHISSEZ, PROPOSEZ, CRITIQUEZ …tout sera lu et pris en compte.

Un comité de rédaction qui sera composé pour l’occasion (de notre prochaine rencontre) en proposera la révision.

La prochaine étape de travail sera organisée à Montpellier début 2013 (voir ACTU)

Pour être informé, vous associer aux chantiers …

inscrivez-vous en envoyant un mail à contact-at-internum.fr

Pour utiliser ce texte
Ce texte en tant qu’appel à vocation d’être diffusé par tout un chacun,
Pour toucher le plus de monde possible
Il suffit juste de mentionner le site www.internum.fr pour permettre à ceux qui le reçoivent de se connecter et s’inscrire sur nos listes de diffusion.

Nous,
Par-delà bien et mal,
Au crépuscule d’une conception finissante des arts et de la culture,

Nous,
Émanation liquide du tiers-état numérique,
Prolétaires de l’innovation,
Observateurs et contributeurs d’une histoire collective et partagée du numérique traversée par les usages de la « culture du (logiciel) libre »,
Animés par une approche pacifiée et dépassionnée de la technique et des technologies,
Lobbyistes et trolls de sociétés en devenir,

Proclamons,

Qu’il existe en dehors des industries culturelles, un maillage organique et virologique d’activistes des arts, des artisanats et des cultures numériques ;

Qu’il existe en dehors de la Sainte-Trinité de la création, production, diffusion, un mode exploratoire de la relation entre les arts et la société ;

Qu’il existe en dehors du kolkhoze soviétique, des modes de productions associatifs, participatifs et coopératifs ;

Qu’il existe en dehors d’une structuration disciplinaire du savoir et des arts, une propagation intermédia et une infiltration de l’environnement culturel et social liée aux pratiques et aux usages numériques ;

Qu’il existe en dehors de l’école de Jules Ferry, de nouveaux processus de transmission et de construction du savoir.

Qu’il existe en dehors d’une dystopie programmée, un avenir radieux où la technologie est au service d’un développement équilibré entre humains, machines et écosystèmes.

CONSIDERANT

La culture comme bien commun

La technologie comme changement de paradigme sociétal

L’intelligence collective comme un nécessaire chantier permanent

INTERNUM APPELLE A …

L’art et la culture comme processeurs du « vivre ensemble » en réaffirmant leurs importances dans le respect et la prise en considération des différences entre toutes et tous, à l’heure où la valeur économique apparaît comme seule finalité et critère de développement.

 La diversité culturelle et l’intérêt collectif, le numérique constituant une formidable opportunité pour produire de la subjectivité, de la singularité, de l’épanouissement, tant dans un registre professionnel qu’à travers les pratiques amateurs, dans un rapport de proximité avec des publics.

Le libre partage des savoirs soutenu par une logique d’éducation populaire, considérant que les savoirs sont un bien commun qu’il conviendrait de partager à l’instar du code source d’un logiciel libre, il s’agit d’inventer perpétuellement dans une logique d’intelligence collective des formes pédagogiques? (formes me suffit) renouvelées pour en assurer la transmission, l’échange, la profusion, à travers une approche horizontale, expérimentale, critique.

L’implication sur un territoire avec des populations dans un système globalisé, loin d’être virtuel et éthéré, le numérique s’ancre dans nos quotidiens et nos territoires et appelle à un rapport de proximité géographique, affectif en contrepoint d’une mondialisation économique désincarnée aux conséquences mortifères.

L’autonomie dans la prise d’initiative et la conduite d’actions, car la liberté de choisir le mode de gestion et d’organisation adapté au projet artistique et culturel développé s’avère facteur d’invention et d’efficacité, liberté qui ne saurait être grevée par des contraintes administratives ou économiques comme le sous tend la logique « projet » qui prévaut actuellement.

Une approche plurielle de la question économique. En se retrouvant dans une finalité non lucrative, un mode de gestion désintéressé, ces activités et démarches se retrouvent pleinement sous la bannière (étoilée) de l’économie sociale et solidaire, animées par une logique de réseau et d’échanges non marchands, trouvant un équilibre entre subsides publics et privés.

– qui parcourent et traversent l’industrie et les instituions culturelles et ouvrent de nouveaux champs et de nouvelles formes artistiques interdisciplinaires ;

– d’activités de création, de soutien à la création, de production, d’expérimentation, de recherche, d’ateliers, d’événements, de festivals, d’exposition, de hacklabs, medialabs, fablabs, de réflexion, de conférence …

– qui génèrent de nouvelles connaissances culturelles et expérimentent de nouveaux modes de transmission et de circulation de la connaissance,

– qui permettent un compagnonnage entre structures, artistes …

– qui soient accessibles aux publics, s’ouvrent à eux, renouvellent les formes d’adressent (et en ce sens, populaires)

MOYENS à mettre en OEUVRE :

– Un wiki de partage et de mutualisation de connaissances, ABCDaire des arts numériques à relier avec d’autres initiatives (diccan) ;

– une bibliothèque idéale : liste issue de la capitalisation de ressources  bibliographiques francophones sur le numérique, bibliographie et  webographie : http://a.aaaarg.org/ (bis : c’est très drôle mais je reste dubitative sur la parution de ce site sur cet appel, pour et contre, à voir..)

– un espace de documents de travail partagés : outils de partage fermé

– Projet Artlabo http://artlabo.org/

nous observons / Depuis un peu plus d’un siècle, les sociétés occidentales vivent des bouleversements technologiques majeurs qui modifient en profondeur notre rapport à l’Autre tant au niveau des perceptions sensorielles que neurologiques et sociales du monde.
Le rôle social de la culture est alors d’autant plus fondamental que cette société impose une redéfinition de tous les rapports entre les êtres par l’unique prisme de l’échange marchand et rentable, ce qui est, par nature, incompatible avec la Culture.
Maitrisant ce nouveau langage technologique qui se met en place et observant les velléités de récupérations de certains qui profitent de leur savoir pour continuer de contrôler le monde, nous prenons conscience de l’importance de notre rôle dans cette nouvelle définition des rapports entre les êtres humains et technoïdes induite par ces bouleversements.
Un paradigme d’importance est que dans ce monde si sérieux où le progrès technologique revêt tant d’enjeux, nous pensons une vision et une relation décalée et assainie à l’Autre.

 > Le développement technologique numérique entraîne un changement profond de l’ordre sociétal séculaire (85c)

 nous contribuons/ Nous effectuons un travail de recherche et de veille permanents, ainsi que de structuration et d’accompagnement du secteur et de ses possibles.
Chevaux de Troie de la culture numérique, nous restons attentifs et, par principe, indisciplinés et critiques d’une société trop cadrée.
Ce travail de recherche pourra se concrétiser par la production de réflexions, de cours.
Notre volonté de structuration pourra également se traduire par la création d’un ministère du désir numérique dont l’unique but serait de retrouver confiance et plaisir dans les technologies.

 > La Culture est un bien commun qui doit retrouver sa place passionnée, critique et indisciplinée dans son environnement. (119c)

nous transmettons / Nous sommes attachés à la notion de démocratie : la souveraineté, y compris culturelle et technologique, doit appartenir au peuple. Celui-ci la remet entre les mains de groupes désignés pour ces missions.
Sacraliser pour mieux ghettoïser… Le peuple s’est dépossédé de la technologie et la culture. Il nous semble fondamental de remettre l’art et la culture à leurs places : simples et accessibles, au cœur de la société.

> Contre l’individualisme et les relations virtuelles nous militons pour le développement de l’amour par le bit. (110c)

Au cœur du rôle social des arts et cultures numériques se trouve le binôme cognitif « partage et transmission » des savoirs qu’il nous appartient de promouvoir.
apprendre à écrire // apprendre à coder = s’approprier les nouveaux moyens de communication. Pour cette transmission des savoirs, le code est alors aussi important que l’écriture. L’apprendre donne un réel moyen d’interaction, de communication, de penser, et d’échanger.
Dans notre rôle de transmetteur, nous militons pour la création de ‘maisons ouvertes de pratique numérique’ où chacun pourrait venir apprendre à lire et écrire le code, nouveau et futur mode de langage.

> La révolution numérique est en lien direct avec la révolution de l’imprimerie en cela qu’il permet une diffusion des savoirs jamais égalée. (139c)

// mouvement des Lumières – une répétition de l’Histoire ? A l’instar des Lumières avec l’imprimerie, la technologie inventée, il nous incombe, en tant qu’être social, de nous l’approprier.
Contre cet obscurantisme ambiant qui garde loin le Public et l’Art, l’Homme et la Culture, il est essentiel de rappeler que les dictatures ont toujours fait taire les penseurs du monde.

> Les maisons ouvertes de pratiques numériques sont les nouvelles écoles des Lumières. (84c)
> Ainsi, le code est à la révolution numérique ce que l’écriture est à la révolution de l’imprimerie. (99c)

MOYENS à mettre en OEUVRE :
– les maisons ouvertes de pratiques numériques
– ateliers de réflexions : rencontres Internum

Nous souhaitons contribuer à l’invention et la construction de l’économie de demain, tant à l’échelle nationale qu’internationale , selon des modèles durables, équitables et solidaires.

– En développant de nouveaux modèles autour du libre, de l’économie sociale et solidaire et de l’économie créative (et solidaire.)

– En développant de nouveaux modes de fonctionnement associatifs et contributifs.

– En élargissant notre culture vers d’autres Cultures, d’autres territoires, d’autres savoirs.

– En développant le principe d’une économie basée sur le principe du partage.

– En participant à la construction de nouvelles modalités de production par des logiques de contributions créatives, afin de favoriser le vivre ensemble.

– En contribuant à l’invention et la construction de l’économie de demain, tant à l’échelle nationale qu’internationale, selon des modèles durables, équitables et solidaires.

MOYENS à mettre en OEUVRE :

 – outils de partage des ressources (artlabo, wiki…)

 – outils de partage de dossiers / budgets / projets type dropbox libre (owncloud par exemple) (dans le but de s’inspirer des bonnes et mauvaises pratiques en matière de constitution de dossiers de recherche de financement, montage de dossier Dicream, européen, …)

 – identification / veille sur des iniatives innovantes (nouvelles formes de structuration, fond de dotation, ….) http://www.scoop.it/t/entreprises-et-industries-creatives/

 – outil de veille sur appel à projets, Soutien à la recherche de financements http://le108.org/site/

Nous constituons un écosystème moléculaire et circulant :

– cet écosystème se reconnaît et identifie ses pairs à travers le Label Internum, auto-attribué.

– nous y adoptons une gouvernance dite de « fédération liquide ». Les propriétés communes sont : l’horizontalité, la solubilité des liaisons entre membres, la circulation et la fertilisation croisée des courants de pensées comme des individus.

– nous opérons des connexions territoriales à travers des acteurs impliqués localement : ceux-ci assurent l’hydratation des tissus socio-économiques locaux et environnants tout en garantissant la perméabilité à l’altérité et l’innovation,

MOYENS à mettre en OEUVRE :

– création d’un LABEL auto-attribué.

– outils de community management

– publication du présent appel.

Nous, prolétaires de l’innovation, artistes numériques, auteurs, responsables de structures publiques, associatives, privées, porteurs d’actions culturelles, producteurs, membres de réseau, animateurs, producteurs, entrepreneurs …

Nous désirons faire évoluer notre statut pour qu’il soit reconnu à sa juste valeur, et parce qu’il a un rôle social affirmé (cf. 2.) et un champ d’activité et d’économie qui se construit chaque jour,

et ainsi entre nous :

-> Mutualiser nos efforts, nos actions et partager nos ressources ;

-> Faire preuve de bienveillance et être à l’écoute les uns des autres, de nos besoins

et ainsi avec les institutions :

-> Développer notre solidarité face aux institutions, et leur ouvrir un espace de travail coopératif pour co-produire les politiques publiques des arts et des cultures numériques ;

-> Structurer et professionnaliser le secteur de la création numérique

MOYENS à mettre en OEUVRE :

– ouvrir un chantier avec l’Etat sur les métiers et la formation dans notre secteur d’activité

– écriture d’une convention collective des arts et des cultures numériques, indépendante des logiques syndicalistes existantes -> le label auto attribué ?

Cette déclaration a été rédigée par des acteurs professionnels qui mettent en œuvre une dynamique inter-régionale entre Rhone-alpes, Languedoc Roussillon et PACA autour des réseaux, collectifs et associations ANRA, ACNLR et ARPAN.

Ces acteurs souhaitent porter publiquement le débat des moyens nécessaires pour accompagner le développement des arts et des cultures numériques en France, et plus généralement pour appréhender autrement les « cultures numériques.

Nous vous proposons donc de vous associer à cette démarche en signant cette déclaration.

Pour tout renseignement complémentaire, nous contacter via l’adresse contact ~{[ààà]}~ internum.fr

Les premiers signataires de cette déclaration :

Les réseaux, collectifs :
ACNLR (Arts et Cultures Numériques Languedoc-Roussillon)
ANRA (Arts Numérique Rhone Alpes),
ARPAN (Association des Arts et des Cultures Numériques PACA)

ainsi que :
Frédéric Alemany, Le Hublot à Nice
Julien Appert, Artiste, Creil
Isabelle Arvers, Curatrice Arts Numériques
Pierre Amoudruz, Artiste, Directeur de l’AADN, Lyon
ARSENIC (Association régaionale de EPN et ERIC en PACA)
Hélène Baisecourt, Entrepont
François de Banes Gardonne, directeur, La Chartreuse de Villeneuve lez Avignon
Stephane Barron, artiste
Franck Bauchard, critique et responsable culturel
Philippe Baudelot, programmateur
Julien Bellanger, PING
Pierre Bellemin, artiste
Maurice Benayoun, artiste
Cedric Bernadotte, La Gare de Coustellet
Céline Berthoumieux, ZINC
Samuel Bianchini, artiste et enseignant-chercheur
Vincent Bidollet, président de l’association AADN
Jean-Yves « UTO » Birker, artiste
Philippe Boisnard, artiste
Pierre Bongiovanni, Maison Laurentine
Marylou Bonnaire, ZINC
Roxanne Borgna, artiste
Lise Bousch, chargé de production Opéra de Lyon et administratrice CreArtCom Studio
Philippe Bouquet, Calllixte Média
Michel Briand élu en charge de l’Internet et du multimédia à Brest
Vincent Brochier,ICO
Benjamin Cadon, Labomedia
Aline Cateux, projet Bizarre !
Agnès de Cayeux, artiste
David Chanel – TheorizCrew – Lyon
Pauline Chasseriaud, Directrice artistique, association accès(s) cultures électroniques à Pau
Cécile Chenais, stage manager, Beijing Playhouse
Yffic Cloarec, directeur de l’ECM du Fourneau, Centre National des Arts de la Rue,
Benoit Colardelle, Scene&Act
Christophe Cotteret, metteur en scène
Christine Coulange, les 7 portes
Jean Cristofol, professeur à l’école supérieure d’art d’Aix en Provence
Jean-Laurent Del Socorro, ZINC
Hélène Deriu, directrice, Kawenga territoires numériques
Marika Dermineur, Désert Numérique
Quentin Destieu, directeur artistique de m2f Créations
Igor Deschamp, Metalab
Gregory Diguet, Bipolar
Jeanne Drouet, Doctorante en anthropologie, CREA, Université Lumière Lyon 2
Stéphane Efoua, LADOCMR, Creil
Francis Faber, La Grande Fabrique-Dieppe
Géraldine Farage, Chargée de production, AADN, Lyon
Damien Fiorani, Le Portail des Savoirs
Anais Fotinatos, Organic Orchestra
Thierry Fournier, artiste
Nicolas Frespech, artiste
Romain Froc, Freesson
Georges Gagneré, didascalie.net
Derrick Giscloux, artiste et concepteur, Lyon
Julien Gilles de la Londe, réalisateur, Paris
Grégoire Gorbatchevsky, co-directeur artistique, Cie Digital Samovar
Eric Grimault, Bandits-Mages à Bourges
David Guez, artiste
Emmanuel Guez, la Chartreuse de Villeneuve lez Avignon
Vincent Guimas, directeur Ars Longa
Phlippe Hert, universitaire
Young Ho Nam, artiste
Zaki Jawhari, Digital Slaves, Nantes
Benoit Joubert chargé de production, Aimez-Vous Brahms, Lyon
Pauline Jupin, Chargée de Médiation, Projet Bizarre, Vénissieux
Fabien Labarthe, sociologue des usages et des pratiques culturelles numériques, Télécom Paristech
Benoit Labourdette, producteur, réalisateur, fondateur du Festival Pocket Films.
Sylvie Lafon, Le Portail des Savoirs
Franck Laroze, artiste numérique / directeur de la structure EvidenZ
Marie Véronique Lecomte, Graph-CMI
Lionel Licini (chef de choeur, Montpellier)
Erik Lorré, Fées d’Hiver
Clémentine Maillol, Freesson
Gilles Malatray, artiste sonore / desartsonnants.com
Roger Malina, rédacteur en chef publications Leonardo MIT Press
Guillaume Marmin, Réalisateur/plasticien, YAM, Lyon
Pascaline Marot, co-directrice artistique, Cie Digital Samovar
Laurence Marthouret, Cie Trans
Isabelle Massu, artiste
Jean Marc Matos, K-Danse
Emmanuel Mayoud, médiateur numérique
Marc Mercier, directeur du festival les Instants Video
Merryl Messaoudi, Aimez-Vous Brahms? Lyon
François Moncarey directeur artistique du centre d’expression numérique et corporelle CENC, Genève, Annemasse
Fanny Montlouis artiste, Vespertine Studio, Lyon
Antoine Moreau, artiste
Dominique Moulon, Critique d’art numérique
Charles Nepote, Directeur de programme à la Fing
Olivier Nérot, Galerie H+, Lyon
Diego Ortiz, artiste
Maflohé Passedouet/Compagnie Mobilis-Immobilis
Rémi Pascal, Ecole de cirque du Guil et de la Durance
Sébastien Paule, directeur Illusion et macadam
François Pericault – Metalab – Lyon
Collectif Pulx
Lionel Radisson – Designer, Lyon
Emmanuelle Raynaud, artiste
Pierre Emmanuel Reviron, Bype
Jonathan Richer – TheorizCrew – Lyon
Jean-François Robardet, artiste et curateur
Anne Roquigny, curatrice
Raphael Sage, Seconde Nature
Joel Bayen Saumères, Espace Magnan
Adelin Schweitzer, artiste
Pierre Serafini, Label Manager, Airflex Labs, Lyon
Alexandre Simonet, chef de projet
Eric Sinatora, Graph-CMI
Hafid Sour, Chorégraphe, Vénissieux
Colette Tron, Alphabetville
Matthieu Tercieux, Scénographie vidéo, VJing & programmeur, Lyon
Patrick Treguer, Espace Mendès France
Mathieu Vabre, Seconde Nature
Olivier Vasseur, LABO-ASCA, Creil
Olivier Van Thienen – Metalab – Artiste
Emilie VIllemagne – Collectif 1’69 – Lille
Renaud Vercey, réalisateur multimédia
Emmanuel Vergès, ZINC
Pierce Warneck – Artiste – Lyon
Anne Cecile Worms, MCD
Claire Zuliani, Administratrice, AADN, Lyon
Marie Gross / Freesson / Administratrice
Clément Puig / Artiste
Sandra Bébié-Valérian / coordinatrice OUDEIS et artiste
Espace Culture Multimédia de la Médiathèque de Martigues